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Le Pavillon de Breteuil |
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La Brasserie de la Meuse |
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Le Cimetière |
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Le Parc de Saint-Cloud |
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Le ru de Marivel |
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Le pavillon de Breteuil est un ancien trianon du château de Saint-Cloud (aujourd'hui détruit), situé à Saint-Cloud dans les Hauts-de-Seine (adresse postale rattachée à Sèvres). Il abrite depuis 1875 le Bureau international des poids et mesures (BIPM).
Sur le domaine acheté par le roi pour son frère, Monsieur le duc Philippe d’Orléans, le trianon du château de Saint-Cloud est inauguré
en 1672. Construit sous la direction de l’architecte Thomas Gobert, ce belvédère de style classique destiné à accueillir des fêtes
se situe à l’écart du château, à l’extrême sud du domaine, près de Sèvres. Il domine des jardins en terrasses ornés de parterres et bassins qui descendent jusqu’à la Seine.
Nommé pavillon du Mail sous Louis d'Orléans, petit-fils de Monsieur, il est remanié en 1743 pour le mariage de son fils Louis-Philippe d'Orléans, duc de Chartres, et de la princesse Louise-Henriette de Bourbon-Conti. (lire la suite sur le site de la Mairie de Sèvres)
Il fut appelé Pavillon de Breteuil par Louis-Philippe d'Orléans, du nom de son chancelier, l'abbé de Breteuil, auquel il l'offrit.
Nous avons tous entendu parler du Pavillon de Breteuil situé dans le Parc de Saint Cloud à Sèvres près de Paris et du Bureau International des Poids et Mesure, c’est même un des souvenirs qui sont enracinés en nous depuis nos débuts scolaires.
Le Bureau International des Poids et Mesures est situé sur le sol français, mais il est indépendant de la France, c’est un organisme international.
C'est en 1875 que le Bureau international des poids et mesures fut créé et placé sous la haute surveillance du Comité international chargé d'exécuter pour les états adhérents toutes les déterminations prévues, relatives aux mesures de longeur et de masse, jusqu'aux températures et aux unités électriques.
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Le BIPM a pour mission d'assurer l'uniformité mondiale des mesures et leur traçabilité au Système international d'unités (SI).
Il travaille sous l'autorité de la Convention du Mètre, qui est un traité diplomatique conclu entre cinquante-quatre États. Il exerce son activité avec l'aide d'un certain nombre de Comités consultatifs, dont les membres sont des laboratoires nationaux de métrologie des États signataires, et par son travail de laboratoire.
Le BIPM effectue des recherches liées à la métrologie. Il organise ou participe à des comparaisons internationales d'étalons nationaux de mesure et effectue des étalonnages pour les États membres. Les personnes intéressées pourront consulter le site web du BIPM. |
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Le texte (et l'image du blason) de cette page est issu des sites suivants : Wikipédia, cfmetrologie, Mairie de Sèvres
ainsi que du livre Sèvres en Ile-de-France de Mariette Portet
édité par "La Nef de Paris Editions en 1963 |
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Caves du Roy (Roi) ou Brasserie de Sèvres
Ces caves sont installées dans des carrières de calcaire grossier qui furent exploitées vers le 16ème comme le prouve
un acte notarié datant de 1539.
A partir du 17ème siècle, des marchands de vins s'installèrent sur la commune de Sèvres afin de desservir la Cour du Roi, nouvellement installée à Versailles.
C'est Louis d'Arboulin qui fut le premier à installer ses caves à Sèvres en 1703. Il dut acheter un ensemble de petites carrières qui appartenaient à différents propriétaires dont les maisons étaient situées au-dessus. Il mit 20 ans à acheter l'ensemble des maisons et leurs carrières pour en faire un ensemble cohérent. Au-dessus des carrières, il aménagera des jardins en terrasses arborés et animés de jeux d'eau. Il fit construire une cour autour des cavages ainsi que sa maison. Pour augmenter la qualité, il décidera d'importer les tonneaux de Bourgogne par voie fluviale et non par les mauvais chemins, comme cela se faisait habituellement. Un port à vins s'installera sur la commune de Sèvres. Les tonneaux étaient ensuite acheminés à Versailles par la route de Chaville et de Viroflay.
Au cours du 18ème siècle, toute une dynastie de négociants issue du marchand Louis Mirey agrandissent les carrières existantes, en creusant 37 galeries supplémentaires ou "rues". Les caves s'ouvraient à flanc de coteau par quatre cavages maçonnés rehaussés de blasons et permettaient un accès aux deux niveaux de carrière.
Avec la révolution et l'enfermement du Roi Louis XVI aux Tuileries, les caves du Roy sont vidées. Le 28 avril 1790, le vin est vendu aux enchères publiques en tant que "bien national". Des hommes d'affaires achetèrent le domaine et louent les caves à des marchands de vins provinciaux. Les maisons furent louées à des particuliers. Les carrières furent réexploitées pour la pierre et les bancs de sable.
La reprise du négoce du vin au niveau des "caves carrières" de Sèvres ne retrouvera jamais sa splendeur passée. L'apparition du mildiou au cours du 19e siècle vient mettre un coup de grâce au commerce du vin en direction de la capitale. Les vignobles proches de Paris sont tous décimés et le vin devient bien trop onéreux pour être vendu à la classe populaire.
Les caves du Roi vont alors être reconverties en brasserie (société des caves du roi) par Jean-Baptiste Reinart en 1847. Ce dernier est déjà propriétaire de brasseries en Moselle et profite de l'ouverture de la ligne de chemin de fer Paris-Versailles pour inaugurer sa brasserie de Sèvres. Il réaménage toutes les caves à vin et installa la brasserie dans le fond de la cour. Il doit également convaincre la population locale incomodée par les émanations et les machines à vapeur. L'invasion prussienne, de 1870, entraîne la fermeture de l'entreprise qui sera rachetée en 1873 par le brasseur autrichien Maurice Fanta.
Retrouvez le récit complet sur le site rue des lumieres.
En savoir plus sur Jean Baptiste Reinert et la Brasserie de la Meuse.
A consulter le site brasseries de moselle..
Un autre site bien documenté avec photos :
ruedeslumieres.morkitu.org
Historique : legrenierdemonmoulins.fr
De très belles cartes postales : cartophilie-viroflay
Le texte de cet article est issu du site ruedeslumieres |
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Découvrir un petit livret sur le sujet |
L'exploitation des caves du Roi s'arrête le 31 décembre 1949, les galeries étant de plus en plus endommagées par l'urbanisation en surface.
En 1966, les brasseries de la Meuse sont absorbées par la société européenne des brasseries (SEB).
En 1985, le site est démantelé et vendu à une société immobilière (la Cogedim) qui rase l'ancienne usine au profit d'un immeuble moderne qui s'appuie sur l'ancien coteau calcaire. |
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L'histoire continue
Brasserie artisanale de Sèvres
111 rue des Bruyères 92310 Sèvres |
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Le premier cimetière de Sèvres était situé aux abords de l’église Saint- Romain.
1868 création d'un cimetière sur l'actuelle rue Allard
1872 retour aux Binelles
1876 achat du terrain de l'actuel cimetière
1881 première inhumation
Le cimetière abrite aujourd’hui quatre monuments rendant hommage aux soldats et victimes de guerre.
On peut citer les personnalités inhumées aux Bruyères.
Pour une information plus complète vous pouvez lire l' article du site de La Mairie de Sèvres
Pour les noms je me suis en partie inspiré du site de Philippe Landru : Cimetières de France et d'ailleurs que vous pouvez consulter pour plus d'information sur les tombes et leurs décorations.
Si vous cherchez des infos sur les monuments aux morts de France, je vous conseil le site : Monuments aux morts de la guerre 1914-1918
Les photos
sont généralement de wikipédia ainsi que quelques curriculum vitae.
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Jardin du souvenir
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M. Ahiam Shoshany, dit Achiam
Né le 10 février 1916 à Beït-Gan, Israël,
décédé le 26 mars 2005 à Paris.
Sculpteur franco-israélien établi en région parisienne en 1947. |
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Charles Alexis APOIL (1809-1864) :
Peintre. |
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BACLER d'ALBE (1761-1824) :
Général des armées de la République et de l'Empire, fit partie de l'état-major restreint de l'Empereur Napoléon 1er de 1799 à 1815. |
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Antoine BÉRANGER (1785-1867) :
Peintre sur porcelaine et graveur français. |
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Suzanne Estelle BÉRANGER-APOIL (1825-1902) :
Peintre décoratrice de la Manufacture nationale de Sèvres. |
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Pierre BERTAUX (1907-1986) :
Universitaire germaniste, résistant français. Il était l'époux de Denise Supervielle (1909-2005) qui était la fille du poète Jules Supervielle.
Membre de plusieurs cabinets de gouvernements de gauche, nommé commissaire de la République à la Libération de Toulouse, il a été fait notamment Officier de la Légion d'honneur, Croix de guerre, et Compagnon de la Libération. Il fut sénateur du Soudan de 1953 à 1955.
Il est le père du sociologue Daniel Bertaux. |
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Félix BERTEAU :
Mort à Sèvres en 1948 |
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Denise BERTAUX-SUPERVIELLE (1909-2005)
Fille du poète Jules Supervielle. |
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Isaac BOISSON (1868-1924) :
Statuaire et peintre.
il fut directeur de l’école des Beaux-Arts et conservateur du musée
de la ville du Havre. |
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Fernand BONNIER de la CHAPELLE (1922-1942) :
Né à Alger et fusillé dans cette même ville le 26 décembre 1942, est connu pour avoir assassiné le 24 décembre 1942 l'amiral François Darlan, ancien chef du gouvernement de Vichy, au pouvoir de fait en Afrique française du Nord. |
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Louis Maximilien BOURGEOIS (1839-1901) :
Sulpteur, graveur et médailleur français. |
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Félix BRACQUEMOND (1833-1914) :
Dit « Félix Bracquemond » (Paris, 28 mai 1833-Sèvres, 27 octobre 1914) est un peintre, graveur et décorateur d'objets d'art français.
Il est un des principaux fondateurs de la Société des aquafortistes en 1862.
Il joue un rôle essentiel dans le renouveau de la gravure, encourageant Édouard Manet, Edgar Degas et Camille Pissaro à utiliser cette technique. |
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Rodolphe BRESDIN (1822-1885) :
Lithographe , qui fut inhumé dans la fosse commune du cimetière. |
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CARRIER-BELLEUSE
Fils du sculpteur qui a donné son nom au square devant le C.I.E.P. |
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Jules CHAMPFLEURY (1821-1889) :
Céramographe distingué, critique, littérateur et romancier français né à Laon, dans l'Aisne, le 10 septembre 1821 et mort à Sèvres le 6 décembre 1889. Conseiller municipal en 1878.
Il fut conservateur du Musée national de céramique de 1872 à 1889 et administrateur-adjoint de la Manufacture de 1887 à 1889. |
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Jean COMANDON (1877-1970) :
Médecin. |
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Henri CONTI (1854-1902) :
Auteur dramatique et nouvelliste. |
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Eugénie COTTON (1881-1967) :
Physicienne et militante féministe, proche du communisme, elle fut la première femme agrégée de physique. Elle intègre l'École normale supérieure de Sèvres en 1901, où elle rencontre Pierre Curie et Marie Curie et Paul Langevin. Agrégée de sciences physiques en 1904, elle enseigne au collège de Poitiers puis dirige l'École normale supérieure de jeunes filles où elle eut, à partir de ce moment-là et pour de longues années, une très grande activité scientifique.
En 1913, elle épouse Aimé Cotton, professeur à la faculté des sciences de Paris et à l'École normale supérieure de Saint-Cloud et dont elle a quatre enfants (dont un mort peu après sa naissance). Devenue ensuite directrice de l'École normale supérieure de Sèvres, elle y élève le niveau de l’enseignement des sciences et y développe le laboratoire et les recherches. |
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Aimé COTTON (1869-1951) :
Membre de l’Académie des sciences.Physicien français connu pour ses études de l’interaction de la lumière avec des molécules chirales. Il fut professeur titulaire de physique générale à la faculté des sciences de l'université de Paris de 1922 à 1941. |
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Albert DAMMOUSE (1848-1926) :
Céramiste-sculpteur à la Manufacture de Sèvres. Conseiller municipal. |
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Marcel DERNY
Sculpteur et dessinateur animalier, grand maître d'Art Céramique
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Athanase Louis DE PERRIN de BRICHAMBAUT
Architecte. |
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Jules-Henri DESFOURNEAUX (1877- 1951) :
Bourreau français.
Le 29 juin 1951, il guillotine son dernier condamné à mort à Saint-Brieuc.
A 73 ans, il avait participé à près de 350 exécutions, dont presque 200 en tant que chef. |
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Charles DESVERGNE (1860-1929) :
Sculpteur . |
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Henri Dontenwille (1888-1981) Fondateur de la Société de mythologie française. |
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Eléonore ESCALLIER (1827-1888) :
Peintre. Élève de Jules-Claude Ziegler. Elle est une des premières femmes peintres de province installée à Paris. Elle est surtout connue pour ses peintures de fleurs et de fruits. |
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Jules Isidore FAGARD :
Industriel qui fonda en 1926 l'entreprise de stylots Jif, Waterman, branche française de facto indépendante de la marque américaine créée par Lewis Waterman. |
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Jacques Suzanne Joseph Ernest FOURNIER de FLAIX (1824-1904) :
Economiste et publiciste. |
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Albert GLATIGNY (1839-1873) :
Dit « Albert Glatigny », né à Lillebonne le 21 mai 1839 et mort à Sèvres le 16 avril 1873, est un poète, écrivain, comédien et dramaturge français qui vécut à Sèvres et mourut 11 rue Basse, aujourd’hui rue Diderot. En 1917, il a reçu, à titre posthume, le prix de littérature de l’Académie française pour l’ensemble de son œuvre.
Avait été inhumé à Sèvres, mais ce cimetière ne possède pas son tombeau. |
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Edmée Marc HATINGUAIS (1896-1972) :
Pédagogue qui créa et anima de 1945 à 1966 le Centre International d'Études Pédagogique de Sèvres. Elle repose sous une stèle au dos de laquelle figure une longue épitaphe en latin. |
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Eugène-Pirou-Louis Auguste HIMLY (1823-1906) :
Historien et géographe. |
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Léon JOURNAULT (1827-1892) :
Publiciste et homme politique français.
Journault venait d’être reçu avocat lors du coup d'État du 2 décembre 1851 et se mit à la disposition du Comité de résistance organisé par Victor Hugo. Devenu plus tard principal clerc du notaire parisien Péan de Saint-Gilles, Journault, quoique toujours attaché au parti républicain, se tint en dehors des agitations politiques jusqu’en 1869, époque à laquelle il entra à la rédaction de la Tribune, journal hebdomadaire fondé par Pelletan, Glais-Bizoin et Hénon. Il collaborait en même temps au Libéral et à l’Union libérale de Seine-et-Oise. Parti républicain, se tint en dehors des agitations politiques jusqu’en 1869, époque à laquelle il entra à la rédaction de la Tribune, journal hebdomadaire fondé par Pelletan, Glais-Bizoin et Hénon. Il collaborait en même temps au Libéral et à l’Union libérale de Seine-et-Oise.
Maire de Sèvres à partir de 1870. |
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Pierre JUNDT (1901-1991) :
Homme de lettres. |
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Espérance LANGLOIS (1805-1864) :
Peintre et graveuse. |
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Jacques LECOMPTE-BOINET (1905-1974) Alias : Jacques-Marie Le Bouédic, Lefort, Peyrac, Mondor, Dumont, Bréaumont, Legris, Mathieu-Fréville.
Compagnon de la Libération.
En 1946, Jacques Lecompte-Boinet est nommé ministre puis ambassadeur en Colombie, puis de 1951 à 1955, ambassadeur en Finlande. De 1955 à 1961, il occupe les fonctions de délégué de la France au Conseil de l'Europe puis, de 1961 à 1965, celles d'ambassadeur de France en Norvège. |
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Pierre LESSERE :
Médecin sévrien, adjoint au maire, il s’était consacré pendant cinquante ans à sa profession et avait rendu de nombreux services à la population sévrienne.
Le monument est de l'architecte Leteurtre.
Le buste en bronze a été réalisé par Forgeot. |
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Maurice LIMAT (1914-2002) :
Ecrivain français de science-fiction, de romans policiers et d'espionnage. Sa production, particulièrement abondante et polymorphe, fut publiée avant-guerre par la maison d'édition Ferenczi & fils (éditeur) (dans les collections " Le petit roman d'aventures ", " Voyages et aventures ", " Mon roman d'aventures " et " Mon roman policier " ) puis principalement au Fleuve noir - dont il deviendra l'un des piliers - pour ses œuvres de Science-Fiction et à la Société des Éditions Générales ( S.E.G - Collection " 078 Services Secrets " ) pour ses romans d'espionnage .Féru d'occultisme, il s'essaya aussi au fantastique, au théâtre et à la poésie.
Il a publié des romans sous divers pseudonymes, notamment Maurice Lionel, Maurice d'Escrignelles, Lionel Rey et Lionel Rex. |
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Pierre MIDRIN : (1846-1898)
Menuisier puis instituteur, Docteur en médecine
Directeur de l'hôpital de Sèvres
Maire de Sèvres de 1889 à 1898 |
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Prosper MONTAGNÉ (1865-1948) :
Fils d'un commerçant de nouveautés dont le violon d'Ingres était la cuisine. Il est un chef cuisinier français, auteur de nombreux ouvrages et articles sur l'alimentation, la cuisine et la gastronomie. On lui doit notamment le Larousse gastronomique. |
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Fernand PELLOUTIER (1867-1901) :
Militant syndicaliste révolutionnaire socialiste et libertaire.
Secrétaire général, en 1895, de la Fédération nationale des Bourses du Travail, il est une des grandes figures du syndicalisme et de l'anarchisme français au XIXe siècle. |
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Athanase Louis de PERRIN de BRICHAMBAUT :
Architecte. |
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Henri POIROT-DELPECH (1854, 1908) :
Maire de Sèvres de 1900 à 1908. |
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Denis-Désiré RIOCREUX (1791-1872) :
Dessinateur et peintre sur porcelaine français, premier conservateur du musée national de Céramique de Sèvres.
Il fut l’un des fondateurs de la Société de secours mutuel (dite de Saint-Romain), l’un des premiers administrateurs de l’hôpital et conseiller municipal de 1852 à 1870. |
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Henri-Pierre ROCHE (1879-1959) :
Ecrivain. |
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Marcel ROUFF (1877-1936) :
Poète, romancier et gastronome français d'origine suisse.
Compagnon de Curnonsky, il est l'un des fondateurs de l'Académie des gastronomes. Il est principalement connu pour son livre La vie et la passion de Dodin-Bouffant, gourmet, qui raconte sous une forme humoristique la vie d'un passionné de gastronomie, fortement inspiré de Curnonsky. Une adaptation télévisée (on disait « dramatique » et non téléfilm) en fut tirée vers 1965 mais jamais rediffusée. |
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Marie Emile Adolphe TAUFFLIEB (1857-1938) :
Général français de la Première Guerre mondiale et sénateur du Bas-Rhin. |
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Raymond TRIBOULET (1906-2006) :
Il entre dans le mouvement de résistance CDLR (Ceux de la Résistance) et devient secrétaire clandestin de l'organisation dans le Calvados (1939-1944).
Premier sous-préfet de la France Libre en 1944 à Bayeux (Calvados), ancien ministre du général De Gaulle. |
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Jean-Pierre VERNANT (1914-2007) :
Historien et anthropologue français, spécialiste de la Grèce antique et plus spécialement des mythes grecs. Il a été professeur au Collège de France. |
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Georges VOGT (1843-1909) :
Chimiste-chef des moufles à la Manufacture de Sèvres de 1880 à 1891, puis premier directeur des travaux scientifiques et techniques de 1891 à 1909 ; auteur de plusieurs ouvrages dont « La Porcelaine » (1893). |
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L’épouse et la fille de l’écrivain Alphonse Karr. |
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La mère d’Ernest Renan. |
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J’ai identifié 10 entrées dans le parc (peut-être y en-t-il d’autres ?)
En partant de Sèvres :
1) Dans la Grande Rue en face de l’Avenue de la Division Leclerc (porte du Mail)
2) A droite de la Manufacture (2 Place de la Manufacture)
3) Une porte de fer donne accès au bois dans le haut du sentier du Nord (quartier Brancas)
En partant du pont de St Cloud
4) Avenue de la grille d’Honneur (Grille d’Honneur)
A St Cloud
5) Allée des Lilas
Garches-Marne la Coquette
6) Allée de la Porte Verte
7) Rue Yves Cariou
Le Chesnay
8) Route de l’Impératrice
9) Rue de Versailles
Ville d’Avray
10) D985 et Allée de la Lanterne
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Photos anciennes |
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Les Grandes Eaux à la Grande Cascade |
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Balade dans le parc en septembre 2014, c'est par ici |
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Le parc de Saint-Cloud officiellement domaine national de Saint-Cloud est un parc situé sur les communes de Saint-Cloud (majoritairement), Marnes-la-Coquette et Sèvres dans le département des Hauts-de-Seine, près de Paris.
Site naturel protégé depuis 1923, il est considéré, avec ses 460 hectares, comme l'un des plus beaux jardins d'Europe et a obtenu en 2005 le label « Jardin remarquable ». Le domaine a été classé à l'inventaire des monuments historiques dès 19001. La tempête de Noël 1999 a fortement endommagé la forêt et sa restauration continue à ce jour.
Le parc est connu pour abriter le pavillon de Breteuil qui contient le célèbre mètre-étalon.
Le parc de Saint-Cloud est situé au sud de la commune, à l'ouest du bras de la Seine, principalement sur le territoire de la commune de Saint-Cloud et secondairement au sud sur les territoires des communes de Marnes-la-Coquette et de Sèvres. Il recouvre :
Le domaine national de Saint-Cloud, domaine appartenant à l’État.
Le pré Saint-Jean, vaste stade sportif appartenant au conseil général des Hauts-de-Seine. C'est dans le Pré Saint-Jean que chaque année en septembre, est organisé le Famillathlon dans le cadre de la fête du « Week-end du sport en famille ».
Le domaine est placé sous l'autorité du « Conservateur du domaine du parc de Saint-Cloud ».
Le château
C'est sur ce site que fut bâti un château qui fut la résidence ou lieu de plaisir des différentes familles princières, royales et impériales depuis le XVIe siècle.
Occupé par les Prussiens, il brûla le 13 octobre 1870 suite à l'explosion d'un obus tiré par les Français depuis la forteresse du Mont-Valérien. Trop endommagé, il fut définitivement rasé en août 1892. Son emplacement est actuellement délimité par des ifs.
Image Wikipédia |
La lanterne
Une partie du panorama visible depuis la Lanterne.
Lanterne de Démosthène
Au rond-point de la Balustrade, du lieu appelé « la lanterne » ou « Lanterne de Démosthène », on dispose d'un point de vue étendu sur Paris.
Cette lanterne était la reproduction d'un petit édifice original en marbre situé à Athènes. M. de Choisel en avait rapporté quelques moulages en plâtre. Ces moulages complétés par quelques autres travaux, permirent de réaliser une imitation en terre cuite. Elle fut exposée à l'Exposition des produits de l'industrie française, au Louvre, en 1801 et remporta une médaille d'argent. Le ministre de l'Intérieur Jean-Antoine Chaptal l'offrit au Premier Consul qui la fit transporter à Saint-Cloud où elle fut érigée sur une sorte d'obélisque en pierre édifié par Fontaine, surmonté d'une sorte de phare. Lorsque l'empereur Napoléon Ier était présent au château, une lanterne était allumée pour informer les Parisiens de sa présence. Point de repère trop visible (18 mètres de haut), elle fut détruite à l'explosif par les Prussiens dans la nuit du 12 au 13 octobre 1870. Il ne reste à ce jour, que les fondations encore visibles sur la pelouse du rond-point de la balustrade. |
La ferme du piqueur
La ferme du piqueur est actuellement une ferme pédagogique ouverte au public. Ancienne écuries transformés en ferme avec actuellement jardin potager, verger, prés pour les animaux et ruches.
Les bâtiments annexes
L'orangerie et la salle de théâtre ont été détruites vers 1863 sur décision de Napoléon III.
La gare des Chaumes, petite gare réservée au couple impérial, dont la voie privative se raccordait au niveau de la gare de Saint-Cloud a également été détruite.
Ne subsistent au XXIe siècle que quelques-uns des bâtiments annexes d'origine. La structure du parc demeure, avec son jardin à la française dessiné par Le Nôtre, un jardin à l'anglaise (jardin du Trocadéro), des carrés boisés, le jardin fleuriste de Marie-Antoinette (où sont cultivées les roses destinées à l’État), une dizaine de fontaines et de grandes allées. L'alimentation en eau des bassins et des cascades provient des étangs de Ville-d'Avray, via un parcours comprenant un aqueduc souterrain.
Bâtiments
Jardin du Trocadéro (parc à l'anglaise)
Bureau international des poids et mesures
Le Bureau international des poids et mesures (BIPM) est installé sur dans le pavillon de Breteuil, sur les hauteurs de la porte du Mail à Sèvres. Deux exemplaires du mètre et du kilogramme étalon y sont déposés.
Musée du château de Saint-Cloud
Situé au niveau de la grille d'honneur, dans le bâtiment des Écuries basses, le musée comprend cinq salles invitant à redécouvrir le château disparu.
Le texte du parc de Saint-Cloud est issu de Wikipédia |
Le ru de Marivel n'a pas le long parcours de ces fleuves inconstants qui aiment à changer de paysage; il naît au flanc des hauteurs de Jouy pour creuser son lit entre la forêt de Meudon et les bois de Fausses Reposes, il traverse Viroflay et Chaville pour se jeter dans la Seine à Sèvres.
Extrait du livre : Sèvres par l'employé de l'Etat-Civil |
Le ru de Marivel permis à de nombreux métiers d'exister tout au long de son parcours jusqu'à la Seine, en particulier les lavandières et les tanneurs ainsi que le bon fonctionnement d'un moulin.
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Le ru de Marivel prend sa source à Versailles, dans le quartier de Porchefontaine. Il se jette dans la Seine au niveau du pont de Sèvres.
Il creuse un bassin puis une vallée dont la profondeur atteint plus de 150 mètres à sa confluence avec la Seine. Les versants abrupts sont couronnés au nord par le parc de Saint-Cloud, dont un des affluents du ru de Marivel, la rigole de Ville-d'Avray et ses étangs alimentent les bassins) et la forêt de Fausses-Reposes, au sud par les forêts de Meudon et de Versailles. Il possède plusieurs affluents, dont certains ont creusé des vallons.
Il traverse les communes de Versailles, Viroflay, Chaville, Sèvres.
Aujourd'hui, le ru de Marivel est entièrement couvert à l'exception des têtes de bassin. Une ancienne portion de la Nationale 10 aujourd'hui déclassée en routes départementales (RD 10 et RD 910) passe au-dessus. Transformé en égout, il est géré par le Syndicat Intercommunal d'Assainissement de la Vallée du Ru de Marivel (SIAVRM) où siègent sept communes : Versailles, Vélizy-Villacoublay, Viroflay, Sèvres, Chaville, Marnes-la-Coquette, Ville-d'Avray. Il collecte également les eaux usées de la ville nouvelle de Saint-Quentin-en-Yvelines.
Le ru de Marivel n'a été recouvert que récemment, au milieu du xxe siècle. Les têtes de bassin du ru de Marivel et de ses affluents restent à l'air libre et comportent de nombreuses sources (Les Nouettes à Versailles, la Voirie à Viroflay...) et étangs (Brisemiche à Chaville, Ecrevisse et Ursine à Velizy-Villacoublay, Les Nouettes à Versailles, étangs de Ville-d'Avray...).
La source Saint-Germain a pu être retrouvée dans un parking du centre-ville de Sèvres en 2008. Celle-ci sort à une température de 12,5° avec un débit de près de 70 m3/h. En 2012, l'eau de la source a été reconnectée pour partie pour réguler la température du nouveau collège, puis coule à l'air libre sur le parvis Charles-de-Gaulle face à l'hôtel de ville. Elle est ensuite canalisée pour désormais être rejetée directement en Seine.
Pour plus d'information, voir le site etaso (Établissement Territorial eau et Assainissement Seine Ouest) |
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