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        |  | Visite guidée à Sèvres (Savara)
 
 
 
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          | Avant-propos :Né à  Sèvres mais résidant à 1000Km de mon village d’enfance, j’ai consacré une  semaine pour revisiter les lieux mais le ciel n’a pas été clément avec moi  pendant cette quête photographique. La pluie et les nuages de ce mois de mai  2014 ont quelque peu gâché mon plaisir de photographe.
 
 Je suis revenu en septembre 2015, les photos et la balade dans Sèvres, de cette époque, ont été nettement plus agréables.
 
 Cette semaine du mois de mai 2016 a été exécrable au niveau  du temps et a grandement contrarié mes projets photographiques. Cependant j’ai  quand même réussi à alimenter avec nouvelles photos les pages de ce site. J’espère  revenir, avec le beau temps (bien qu’à Paris la météo est souvent capricieuse)  pour de nouvelles séries de photos et peut être de nouvelles pages à écrire. 
 Fin d'année 2017 & début 2018, années noires pour moi avec la perte de plusieurs êtres chers et donc pas de photos.
 Année 2019 et 2020 à oublier pour les photos (virus enragé). J'espère pouvoir retourner dans mon village natal dès 2021.
 Hélas toujours pas de visite en 2021 ni 2022. 2023 enfin le retour en mai avec le beau temps   2024 hélas, séjour rapide en juin avec un temps capricieux. 2025 février quelques photos de Sèvres et visite au Panthéon pour Gambetta en particulier et au musee d'Orsay pour les scuptures. 
 Si vous avez des informations, concernant la ville de Sèvres,  des photos ou cartes postales, je serais très heureux de les mettre à disposition  des internautes qui sont intéressés par ce site. Je peux scanner les documents  et vous les retourner si vous souhaitez les garder.
               N’hésitez pas à me contacter si vous avez des  remarques constructives ou des précisions à apporter concernant les lieux  décrits.Je suis aussi preneur d’idées pour des pages supplémentaires à  condition qu’elles n’aient aucun caractère politique, religieux ou conflictuel.
  Merci à vous et bonne visite.
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          | La ville de  Sèvres, ainsi que celles des environs, a abrité depuis fort longtemps nombres  de célébrité.  Encore aujourd’hui ces  villes semblent attirer beaucoup de personnes connus et dans de nombreux  domaines.Pour les anciens je citerais :
 Dans l’église St Romain de Sèvres vous pouvez voir un tableau de  Paul Hippolyte Flandrin représentant Jeanne d’Arc en prière même si les  historiens s’accordent à dire que Jeanne d’Arc n’est jamais passée à Sèvres
 Le 18 janvier 1551, le cardinal du Bellay octroie à Rabelais les cures de Saint-Martin de Meudon.
 François-Auguste-René  Rodin (1840-1917) Sculpteur français. A  vécu à Meudon ou est installé actuellement un musée qui lui est consacré.
 Honoré de Balzac a résidé à la  Maison des Jardies de 1838 à 1840.
 Puis ce fut Léon Gambetta en 1878  qui achète cette maison et c’est dans celle-ci qu’il meurt le 31 décembre 1882.
 Joseph-Albert-Alexandre Glatigny, dit « Albert  Glatigny », né en 1839 et mort à Sèvres le 16 avril 1873, est un poète,  écrivain, comédien et dramaturge.
 Pierre-Jules Hetzel (1814-1886)  éditeur de nombreux écrivains dont Jules Verne et lui-même auteur de romans  sous le pseudonyme de  P.-J. Stahl a sa  demeure à Sèvres.
 Jules François Félix Husson, dit Fleury, dit Champfleury, écrivain français mort à Sèvres le 6 décembre 1889.
 Jules Ferry (1832-1893) Créateur d'une  École normale féminine à Sèvres et d'une agrégation féminine.
 Louis Pasteur est mort à Marnes-la-Coquette  le 28 septembre 1895.
 Jean Rostand (1894-1977) écrivain,  moraliste, biologiste, historien des sciences et académicien français. Décédé et  enterré au cimetière de Ville d’Avray.
 Quelques artistes de la Manufacture ;
 Louis Simon Boizot (1743-1809)
 Félix Bracquemond (1833-1914)
 Albert Ernest Carrier de Belleuse  (1824-1887)
 Louis Robert Carrier de Belleuse (1848-1913)
 Étienne Maurice Falconet (1716-1791)
 Jean Baptiste Isabey (1767-1855)
 Pour les plus contemporains je citerais
 Boris Vian, né le 10 mars 1920 à  Ville-d'Avray et enterré au cimetière de Ville d’Avray
 Achiam (1916-2005) qui a laissé de  nombreuses sculptures à Sèvres et dans ses environs.
 Yehudi Menuhin (1916-1999) violoniste  et chef d'orchestre américain, à demeuré de 1930 à 1935 à Ville d’Avray.
 Guy Béart (1930-2015) , de son vrai  nom Guy Béhart-Hasson et mort à Garches.
 Sidney Bechet (1897-1959) clarinettiste,  saxophoniste et compositeur américain de jazz ,mort à Garches.
 Françoise Bizette (1914-1996) peintre,  sculpteur, céramiste. Elle est nommée au Lycée de Sèvres de 1950 à 1976.
 André Bizette-Lindet (1906-1998)  sculpteur et peintre français mort à Sèvres.
 André Bloc (1896-1966) architecte français,  sculpteur et éditeur et fondateur de diverses revues spécialisées. En 1952 le  projet et la construction de la maison Bellevue à Meudon aboutissent.
 Jean Carmet (1920-1994)  acteur et scénariste français mort à Sèvres, mais  sa tombe est au cimetière du Montparnasse.
 Maurice Chevalier (1888-1972) chanteur  et acteur français enterré au cimetière de Marnes la Coquette.
 Nicole Courcel, née Nicole Marie  Jeanne Andrieu (1931-2016) actrice française née à Saint-Cloud.
 Lino Ventura (1919-1987) acteur  italien qui a vécu en France et y a réalisé l'ensemble de sa carrière  cinématographique, mort à Saint-Cloud. Père d'une fille handicapée, il fut le fondateur en 1966 de  l'association Perce-Neige, destinée à venir en aide aux personnes handicapées  mentales à Sèvres.
 
 Bien entendu je ne peux pas citer toutes les célébrités qui ont une relation  avec cette région car ils sont trop nombreux.
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          |  | Sèvres vu par Wikipédia |  
        
          | Rubrique histoire (à compléter)
 Vers 1200, construction de l'église Saint-Romain.
 1703 Brasserie de la Meuse : Louis d'Arboulin  fut le premier à installer ses caves à Sèvres
 1756 arrivée de  la Manufacture de Vincennes à Sèvres.
 1834 La mairie actuelle est vendu à la commune par le roi Louis Philippe.
 1857 Construction du premier Hôpital de Sèvres.
 1875 le Bureau international des poids et mesures (BIPM) s'installe dans le pavillon de Breteuil.
 1881  la vieille Manufacture  fut attribué à l'Ecole Normale Supérieure de Jeunes Filles.
 1881 Le groupe scolaire Gambetta est inauguré.
 1881 Installation du cimetière actuel.
 1889 La gare du pont de Sèvres est ouverte.
 1920 Signature du traité de Sèvres (conclusion de la guerre 1914-1918) dans le grand salon du Musée de la céramique.
 À cette occasion, la pièce maîtresse de ce salon "Le vase de Neptune" fut démonté. Voir aussi les timbres commémoratifs de 1970. Voir aussi une carte postale commémorative.
 
 Le traité de Sèvres et la guerre d’indépendance turque.
 
               Le 22 juillet 1956, une rencontre secrète à lieu à Sèvres pour signer Les protocoles de Sèvres (parfois nommés protocole de Sèvres ou accords de Sèvres ou complot de Sèvres) entre Israël, la France et la Grande-Bretagne.1963 Mise en service du pont de Sèvres actuel.
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          | Personnages célèbres Pour les personnalités décédés et inhumés à Sèvres, voir la page  "cimetière de Sèvres"
 Denis Diderot : Dans les années 1774-1784, il ralentit progressivement sa vie sociale, sa santé se dégrade et il l’accepte mal. Il multiplie et allonge les séjours à Sèvres, dans la maison de son ami le joaillier Étienne-Benjamin Belle où il vient régulièrement pendant les dix dernières années de sa vie.
 Albert-Ernest Carrier de Belleuse dit Carrier-Belleuse (1824-1887) En 1875, Carrier-Belleuse est nommé directeur des travaux d’art de la Manufacture de Sèvres.
 Louis François Gravant, né vers 1715, préparateur des  pâtes à la manufacture de Chantilly de 1741 à 1756 puis à Sèvres de 1756 à 1765.
 Pierre-Jules Hetzel (1814-1886), il écrivait sous le pseudonyme de P.J. Stahl.
 Honoré de balzac (1799-1850  ) il achète la maison des Jardies à Sèvres en 1837, dans l'espoir d'y finir ses jours en paix.
 Léon Gambetta (1838-1882 ) En 1878, il achète la maison des Jardies où il se rend régulièrement pour se reposer de ses activités politiques.
 Pierre Riboulet (1928-2003) architecte et urbaniste français né à Sèvres
          et bien d'autres sur la page "Artistes"
 Gustave Eiffel (article du Sévrien Octobre 2023) qui installa sa station météorologique dans son château des Bruyères. Voir aussi page Corse.
 Il a aussi, en autre, participé à la construction de la statue de la Liberté à New York.
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                | Nouvelle ligne 15 coté ouest
 | Ce photomontage présentant la future gare telle qu’elle ouvrira à l’été 2026, avec son patio et la passerelle
 qui mènera à la Seine Musicale
 | Nouvelle ligne 15 coté sud
 Mise en service prévue en 2026
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                |  |  |  |    Le premier pont de Sèvres était en bois en passait sur l'île  Seguin. Il avait 21 arches et une balustrade à claire-voie et sans trottoir.  Une barrière était installée à chaque extrémité qui était fermée dès la tombée  du jour. Il fût mis en service en août 1684. Il fût souvent dessiné et peint  par Bacler d'Albe ancien général, peintre et ingénieur géographe.
 En 1795, le chimiste citoyen Armand Seguin obtint la  concession de l'Île. Il avait découvert un nouveau procédé de tannage et  installa une tannerie.  Le second pont fut construit, sous Napoléon 1er, en pierre,  dans l'axe de la Grande-Rue de Sèvres. Il fut achevé en 1820.Sa longueur était de 229,62 m et sa largeur de 8,20 m.
 Ce pont avait neuf arches en plein cintre de 9 m de rayon  avec des piles demi-circulaires, des voûtes à claveaux et des corniches  supportées par des corbeaux.
 Ses fondations se composaient de pieux en bois de 30 cm de  diamètre et de 6 à 9 m de longueur, au nombre de 76 par pile:
 soit pour l'ensemble de l'ouvrage 836 pieux.
 
              
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                | Pont de Sevres Vue depuis la terrasse du pavillon de Brimborion Photo du site : levillagedebillancourt.fr
 | Pont de Sevres Vue depuis Saint Cloud
 | Pont de Sevres Photo du site : levillagedebillancourt.fr
 |  Les travaux de démolition totale de ce pont seront lancés  par arrêté du 29 octobre 1958 et se termineront en 1963.En attendant son remplacement, une passerelle  "provisoire" en bois fut construite. Commencée à la fin de 1949, la  passerelle "provisoire" va donc durer près de quinze ans !
 Elle avait une longueur de 235 m et comportait onze travées,  dont les portées étaient comprises entre 21 et 27 m. Il existait une chaussée  de 7 m de largeur et deux trottoirs de 1,80 m, soit une largeur totale de 10,60  m.
 La passerelle, malgré sa fragilité apparente, permettra le  passage de tous les véhicules, sans limitation de tonnage.
 L'ouvrage actuel.Le mercredi 22 juillet 1958, l'ancien pont de Sèvres est  interdit définitivement à la circulation. Le samedi précédent, les coureurs du  tour de France ont été autorisés à franchir l'ouvrage pour leur arrivée finale  à Paris.
 Reconstruction :
 Le 3 septembre 1959, des ouvriers découvrirent par hasard  une bombe de 500kg, inexplosée, couchée dans la vase, provenant du bombardement  du 4 avril 1943. Le même fait se renouvelle le vendredi 7 juillet 1961, quand  les ouvriers mettent à jour une bombe de 200 kg enfouie sur la rive droite; le  redoutable engin sera enlevé par les pompiers, à l'aide d'un camion-grue, puis  désamorcé.
 Le pont, mis en service le 1er avril 1963. Il était temps.  La passerelle supportait un trafic de plus en plus dense, avec de fréquents  accidents, dus à des excès de vitesse.C'est un pont-poutre réalisé avec des poutres en acier et  des dalles en béton armé, long de 150 mètres et dont la portée principale est  longue de 80 mètres.
 La maquette de ce futur Sèvres fut exposée au Grand Palais,  au mois d'avril 1961, à l'Exposition de l'Urbanisme "demain Paris"  organisée par le Ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme.
 Il constitue l'origine de la route nationale 118 et permet  le franchissement de la Seine par l'ancienne RN 10 (Route d'Espagne).
 Outre la Seine, il franchit également la RD1 (voie sur berge  - rive droite), la RD 7 (voie sur berge - rive gauche) et la Ligne 2 du tramway  d'Île-de-France (ancienne voie ferrée connue sous le nom de Ligne des  Moulineaux).
 Il n'y aura pas d'inauguration : pas de ruban tricolore à  couper; pas de ministre des Transports ou des Travaux publics; pas de Premier  ministre.
 Tout se fait dans la discrétion, avec quelques agents de  police du commissariat de Sèvres...
 On devine pourquoi : avoir mis quinze ans à construire ce  pont, ce n'était pas glorieux pour les gouvernements...
 
 
 
 
              
                |  | Histoire des quatre ponts (Mémoire vive N° 5 Juin 2006) |  
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          | La gare du Pont de Sèvres Tram Val de Seine ; 
          La ligne T2 La Défense / Issy-Val-de-Seine dessert les stations Musée de Sèvres, à proximité immédiate du Pont de Sèvres. |  
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          | En 1881, sous la troisième République, la ligne Saint-Lazare -Invalides est mise en service. La gare du pont de Sèvres est ouverte en 1889. Photos 2014-2015
 | Carte postale postée en 1912 |  
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          | La gare du pont de Sèvres en travaux (mai 2023) | La gare du pont de Sèvres en juin 2024 Transformée en restaurant MICHELINE
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          |  | Haut de page | Voir les cartes postales des gares de Sèvres.... |  |    
        
          | Promenade des jardins |  
          | Une allée ombragée, des espaces de détente, des œuvres signées du célèbre sculpteur sévrien Achiam, un miroir d’eau multicolore réalisé par la Manufacture…
 La Promenade des jardins se dévoile enfin aux Sévriens après de longues années de travaux. Cette réalisation majeure en entrée de ville, le long de la RD910,
 d’une superficie de 3 552 m2 et longue de 350 mètres, marque un véritable tournant pour la ville. Fruit d’un engagement fort du Département des Hauts-de-Seine en faveur de la création de ce nouveau mail piéton entre le pont de Sèvres et la porte du Mail, à l’écart de la circulation automobile.
 Cette promenade magnifiquement aménagée s’annonce comme un joyau vert en entrée de ville, symbole d’une ville où le respect de l’environnement
 et le bien-être des habitants occupent une place centrale. Avec ses allées ombragées et ses espaces de détente, elle incarne l’art de vivre à la française,
 conjuguant harmonieusement
          élégance, culture et nature.
 
 
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          | Achiam Femme assise, bronze de 1982
 Offerte à Sèvres par sa veuve et ses enfants
 
 | Achiam Mère à l’enfant, serpentine du Queyras de 1991.
 Offerte à Sèvres par sa veuve et ses enfants.
 
 | Achiam Tendresse de 1990
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          | Le musée national de Céramique a été créé au début du XIXe siècle par Alexandre Brongniart, fils de l'architecte Théodore Brongniart et directeur de la Manufacture de Sèvres. Le musée présente des poteries vernissées européennes du Moyen-Age au 18e sicècle, des majoliques de la Renaissance italienne et de l'Europe du 16e au 18e siècle, des faïences et porcelaines européennes des 17e et 18e siècles, enfin de la porcelaine de Sèvres de 1740 à nos jours. Mais le musée conserve également des céramiques islamiques, des faïences hispano-mauresques et des céramiques japonaises.Architecte : LAUDIN , Jacques Félix Alexandre (1810-1885)
 Elève de Destouches à l’Ecole des beaux-arts (promotion de 1830).
 Architecte du gouvernement. Nommé architecte du palais de Meudon et de la manufacture de Sèvres en 1853, il construisit les bâtiments de la nouvelle manufacture, à l’entrée du parc de Saint-Cloud (1864). Il conserva ces fonctions jusqu’en 1879.
 Chevalier de la Légion d’honneur en 1864.
 Pour plus de détail, voir la page Manufacture. |  
        
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          | Coté gauche En médaillon Bernard Palissy
 
 | Au centre, Allégories 
 | Coté droit En médaillon Lucca Della Robbia
 
 | Ancien fronton central en place depuis la construction
 du bâtiment jusqu'au début des années 1950
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          | La façade en juin 2024 |  |  |  
 
 
        
          | Voir le projet d'aménagement en cours édité par la communauté d'aglomération Grand Paris Serine Ouest :  |  
        
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          | La pointe de l'Île Seguin en ? Édition Abeille (Paris)
 | La pointe de l'Île Seguin en mai 1993 Scan depuis diapos.
 | La pointe de l'Île Seguin en 2014 
 | Alexandre-Jules Monthelier (1804-1883) |  
        
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          | novembre 2017 Photo Xavier Petit
 | février 2018 | février 2018 | février 2018 |  
          |  | L’œuvre de Kohei Nawa, artiste japonais, sur la pointe aval de l’île Séguin, face au pont de Sèvres. Cette sculpture monumentale en inox peint symbolise la structure atomique d’une goutte d’eau lorsqu’elle tombe vers la terre.
 L’artiste a baptisé cette œuvre du nom d’ « éther », ce cinquième élément que les Grecs avaient adopté en plus de l’eau, du feu, de la terre et de l’air, pour marquer le lien vers l’au-delà.
 Haute de 25 mètres, cette sculpture est la deuxième plus haute de France (après la Vierge du Mas Rillier dans l’Ain, 32,6 mètres).
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          | mai 2023 | Grégoire de la Roncière Maire de Sèvres
 | juin 2024 | Ether sculpture de Kohei  Nawa |  |  
 
 
        
          |   Le bâtiment situé 26, rue Troyon, est une propriété (XVIII et XIXè siècle) qui fut successivement la demeure d’un général de Napoléon, une école secondaire de jeunes filles jusqu’en 1890 puis être restée inoccupée durant plusieurs années, la maison abrite la « Croix verte française » et une maison de convalescence de soldats coloniaux avant de devenir le Collège arménien. Inscrit aux Monuments Historiques en 1986.lire la suite sur le site de la Mairie de Sèvres.
 Voir aussi le site du Collège Arménien Samuel Moorat Le  général Louis-Albert-Guislain BACLER d’ALBE a habité cette maison.
 
            
              | Le général Bacler d’Albe a eu une sépulture dans le cimetière de Sèvres mais dans l’ancien cimetière, celui des Binelles ( qui se trouvait à peu près à l’emplacement du gymnase du Collège de Sèvres actuel soit au 43 rue des Binelles). Lors du transfert des tombes du cimetière des Binelles à celui des Bruyères, il semblerait que sa sépulture n’ai pas fait partie des tombes transférées. "Source : Archives de la Mairie de Sèvres" |  |  |  
        
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          |  | Carte postale postée en 1908 |  | Billet de loterie
de la Croix Verte Française
 tirage du
15 mai 1903
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          | La porte du Mail est l'accès du parc de Saint Cloud à Sèvres dans la Grande Rue (coté droit et gauche) et à l'Avenue de la Division Leclerc (en face) |  
 
 
        
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          |  | Haut de page | L'avenue de la Division Leclerc, ex rue de Bellevue et la rue Diderot ex rue Basse
          ex rue Traversière
 ex Petite rue de la Caserne, 1837
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          | L'Avenue de la Division Leclerc prend naissance en face de la porte du Mail dans la Grande Rue, passe sous la N118 et va en direction de Meudon.Parrallèlement à celle-ci, dans sa partie basse, se trouve la rue Diderot dans laquelle j'ai eu l'honneur de naître.
 Mes grands-parents maternelles sont arrivé au 17 en 1936 et  paternelles au 9 vers 1940.
 Mais bien avant nous, des hommes célèbres y ont vécu :
 Au numéro 11, le poète Albert Glatigny (1839-1873) décédé à l'age de 34 ans de la tuberculose. Vous pouvez voir sa tombe au cimetière de Sèvres.
 Au numéro 7, de 1878 à 1879, le peintre anglais, français d'adoption, du mouvement impressionniste,  Alfred Sisley (1839-1899)
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          |  |  | 15 rue Diderot (coté gauche) ou j'ai eu l'honneur de vivre quelques années
 voir détail buste
 | 15 rue Diderot (coté droit) ou j'ai eu l'honneur de vivre quelques années
 voir détail buste
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          | En bas de la rue Diderot existait un vieux moulin |  
          |  | Denis DIDEROT Statue en bronze de Léon Aimé Joachim Lecointe (1826-1913).
 Le modèle est acquis par la ville de Paris en 1884.
 Elle en réalise un bronze en 1886 et l’installe brièvement au square Maurice-Gardette (11e arr., nommé square Parmentier à l’époque).
 En 1886 encore, la statue prend sa place définitive au Sud du square d’Anvers, associée à une statue de Sedaine, également due à Lecointe, installée à l’autre bout du square.
 Les deux amis, curieusement, se tournaient le dos.
 L’une et l’autre furent fondues en 1942 avec une septantaine d’autres statues parisiennes « en alliage cuivreux » sur décret de Vichy du 11 octobre 1941.
 |  | La statue de Denis Diderot est une œuvre d'Auguste
            Bartholdi
 (Statue de la Liberté à New York, Les Fleuves et les Sources allant à l'Océan de la fontaine située place des Terreaux à Lyon, ainsi que du monumental
 Lion de Belfort
            installée sur la place Diderot
 de Langres en 1884.
 Elle a connu une importante rénovation en 2008.
 
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          | Carte postale postée le 19 septembre 1920
 | [ Source : bobpetit.com ] | Diderot à Langres Carte postale vierge
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          | Diderot par Jean Gautherin 145 boulevard St Germain Paris 6ème
 | Carte postale éditée par la Fédération des Sociétés Philatéliques Françaises
 |  | Porte du mail Au premier plan la Grande Rue
 En face la Division Leclerc
 et à sa gauche, la rue Diderot
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          |  | Sèvres et la guerre 1939-1945 |  
          |  | Sèvres Le 24 août 1944 au soir, le détachement Massu du Groupement tactique Langlade (GTL) de la 2e DB, se
            trouve au pont Sèvres. Les carrefours sont sécurisés dans toutes les directions et les hommes font la fête avec 
            la population.
            A quelques centaines de mètres de là, sur les hauteurs de Meudon, la compagnie parachutiste du Lieutenant
            Seidel s'est retrouvée isolée et va tenter de rejoindre le groupe Aulock à Saint-Cloud. Vers 1h30, le 
            kampfgruppe de près de 200 hommes, composé d'un commando de parachutistes et de troupes régulières, 
            tente le tout pour le tour et entame sa descente par l'avenue de Bellevue. Trois camionnettes tractent trois 
            pièces de canons Flak 20. A la faveur de la nuit, le lieutenant 
            Seidel avec une centaine de parachutistes arrivent en bas de 
            l'avenue sans éveiller de soupçons et si soudainement qu'on les 
            prend tout d'abord pour des renforts alliés. L'alerte est donnée. Les 
            parachutistes allemands se frayent un passage à coup de grenades
            et mettent les canons de 20 en batterie à moins de trente mètres
 du
            chenillé de commandement. Le canon antichar de 57 qui
            verrouillait l'avenue est démoli, le half-track du capitaine Rogier
            est touché et flambe comme une torche, éclairant tout le carrefour
            à l'entrée du parc de Saint-Cloud. Après une demi-heure de lutte
            acharnée, le gros des Allemands parvient à passer mais en laissant
            une vingtaine de morts et vingt prisonniers, des parachutistes pour
            la plupart. Blessé aux jambes, le capitaine Rogier est évacué. Huit
            soldats français ont trouvé la mort.
 Source : Bruno Renoult
 |  |  
          | Sèvres 1942 : des collections de céramiques de la Manufacture après un bombardement (copyright Sèvres, cité de la céramique).
 Photo du site :
 http://www.souvenir-francais-92.org
 | Extrait de la documentation 1939-1945 Occupation et Libération
 Volume 2 Saclay
 Serge Fiorèse
 | Consulter le document complet | Avenue de Bellevue en août 1944 Photo du site :http://mapage.noos.fr
 |  
          | La Maison de Sèvresau cœur des  filières clandestines
 Extrait
 
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 | Consulter le document complet sur le site web 
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 | Chronologie "La Maison d'enfants de Sèvres"
 |  
 Qui était Goéland et Pingouin ?
 
 | A la mémoire des Sévriennes mortes pour la France
 |  
          |  |  |  | Cartes postales issues des archives de la mairie de Sèvres,
 qui m'a aimablement autorisé à les publier.
 (ancienne collection de Monsieur Pierre Mercier)
 
 
 |  
          | 18 Fi4 1370 - Noviciat des Oblates Missionnaires de l'Assomption
 Jardin
 | 18 Fi4 1371 - Noviciat des Oblates Photo André à Sèvres
 Missionnaires de l'Assomption
 Grotte
 | 18 Fi4 1372 - Noviciat des Oblates Photo André à Sèvres
 Missionnaires de l'Assomption
 Terrasse
 | Noviciat des Oblates de l'Assomption qui devint par la suite la Maison des Enfants de Sèvres. |  
          |  |  |  |  |  
          | A la mémoire des SÉVRIENNES mortes pour la France 1939-1945 |  
          |  |  |  |  |  
          |  |  |  |  
          |  |  |  |  |  
          |  |  |  |  |  |  |  
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          | Camille Charvet née Kahn 1881-1945
 22° promotion scientifique
 | Marie Talet 1884-1944
 25° promotion scientifique
 | Marcelle Pardé 1891-1945
 31° promotion littéraire
 | Marie Reynoard 1897-1945
 38° promotion littéraire
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          |  |  |  |  |  
          |  |  |  |  |  |  |  |  |  
          | Claude Virlogeux née Rodier 1903-1944
 42° promotion scientifique
 | Margueritte Flavien née Buffard 1912-1944
 52° promotion littéraire
 | Madeleine Michelis 1913-1944
 54° promotion littéraire
 | Andrée Dana 1915-194...?
 58° promotion scientifique
 |  
          |  |  |  |  | École de Sèvres 1995 |  
          | Si vous souhaitez en savoir plus, lisez ce livre. |  
          |  |  |  |  |  
          |  | Georges et Marianne Ascoli, arrêtés par la Gestapo à Sèvres le 21 février 1944, internés à Drancy, déportés par le convoi n°69 du 7 mars et assassinés
 à leur arrivée à Auschwitz-Birkenau le 12 mars 1944.
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          |  |  |  |  |  
          | Borne inauguré en juin 2024 à l'angle de l'avenue de la Division Leclerc et l'avenue Henri Regnault |  | Le serment de Koufra | Pour en savoir plus www.2edb-leclerc.fr
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          |  |  |  |  |  
          | Buste du général Leclerc angle de la Grande rue et
 de l'avenue de la division Leclerc
 inauguré en juin 2024
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          | Escalier Saint Louis et la villa BrancasSous Louis Philippe, en 1834, la commune achète à l’Etat l’Hôtel  de Brancas pour y installer la mairie. Le jardin du domaine est vendu à un  banquier parisien qui en cède une partie à jean Louis Potin en en 1853. Ce  dernier le lotira sous le nom de « Villas Brancas ».
 Des voies privées de circulation y sont créées, dont l’avenue Potin qui  traverse le domaine d’est en ouest (actuelle avenue Félix et Auguste Bracquemond)
 et l’escalier Saint  Louis.
 Grande Rue, l’escalier est fermé par une  porte de chêne qui demeure constamment close et dont la clé est détenue par un  gardien. Seules les copropriétaires peuvent emprunter ce passage, après six  heures le matin et avant la tombée du jour.
 La porte a disparu mais subsiste la voûte de l’entrée de la villa. L’escalier à  la montée aisée fait découvrir un lieu paisible ayant conservé, selon le vœu de  son fondateur , un caractère de villégiature.
 
              
                | Patimoine culturel. Mairie de Sèvres |    |  
        
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          | En prenant la Grande Rue depuis les bords de Seine, plusieurs escaliers desservent le coteau Rive Droite, dont les premiers sont les escaliers Saint-Louis et Ernest-Chaplet (le plus long de la ville avec 167 marches).
 Ces deux escaliers datent de la création du lotissement « Villa Brancas » en 1856. D’abord privée,
 la rue Brancas 
et celles desservant le lotissement seront classées dans la voirie urbaine en 1935.
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          | Cliquez les numéros pour voir les maisons |  
        
          | Pour voir la Maison de l'Obervatoire aujourd'hui, cliquez sur le N° 16 et si vous désirez en savoir plus, consultez l'article édité par la mairie de Sèvres. |  |  
        
          |  |  |  | Ce multi accueil municipal, créé en 1995, accueille des enfants de dix semaines à quatre ans, sur des jours occasionnels ou réguliers, de demi - journées à cinq jours par semaine, selon les besoins des familles et en fonction de la disponibilité de la structure. |  
          |       | 69 rue Brancas En savoir plus....
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          |  |  |  |  |  
          | Quartier Brancas février 2018 | 16 rue Brancas | 74 rue Brancas | 21 rue Brancas |  
        
          |  |  |  |  |  
          | 1 rue de la Porte du Parc | 5 rue de la Porte du Parc | 6 rue de la Porte du Parc | Grille d'entrée du parc de Saint-Cloud en haut de la 
          rue de la Porte du Parc
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          |  |  |  |  |  
          |  |  |  | 32 rue des Pommerets |  
          |  |  |  |  |  
          |  | 66 rue des Fontenelles | Vue depuis le quartier Brancas |  
          |  |  |  |  |  
          |  |  | 117 rue Brancas | 116 rue Brancas |  
          |  |  |  |  |  
          | 7 rue Gabriel Ledermann |  |  
          |  |  |  |  |  
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 |   Cliquez les détails
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          | Escalier du Parc entre le 70 & 72 Grande Rue
 140 marches
 | 14 Rue Brognard | 10 Rue Brognard |  
          |  |  |  |  |  
          | 14 Rue Brognard |  
        
          |  |  |  |  |  
          |  |  |  |  |  
          | Maison à l'angle du 14 Avenue de la Division Leclerc et de l'avenue Henri Regnault Ancien commissariat à l'époque ou je vivais
 17 rue Diderot juste en face
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              |  |  
              | 8 Avenue de la Division Leclerc Villa Rémy Launay (1888)
 Ozanne architecte 1889
 |  | 4 Avenue de la Division Leclerc | Rue Leon Cladel |  
        
          | Les petites sœurs de l'Asomption |  
          |  | 1876 14/01/1877
 13/09/1877
 14/10/1878
 1877-1881
 1913
 1986
 06/07/1967
 30/12/1966
 11/01/1968
 
 15/02/2019
 | Prise de possession de la maison qui existait déjà Acte de vente aux sœures
 Bénédiction de la chapelle par Mo Picard consacré à Saint Joseph
 Fondation par Antoinette Fage
 1er xxx retour rue Violet
 Transfert 3 place du Parc (Actuellement place de la Libération)
 Désacralisation
 Permis de démolir pour extension
 Permis de construire 
            pour 26 chambres et parties communes
 Agrandissemnt de la chapelle
 
 Permis de construire, après démolition de la chapelle, pour la création d'un foyer de jeunes travailleurs
 composé de 115 studios et 2 salles d'activités
 |  
          | 24 Avenue de la Division Leclerc Foyer La Rose des Vents, la chapelle.
 Photo T.Manetti Août 2019
 Cet édifice va être démoli pour permettre la construction de 115 studios
 et 2 salles d'activités
pour jeunes travailleurs
 |  | Je remercie M. Michel Schneider  (Président de          la Société          d'Archéologique et d'Histoire de Sèvres) qui m’a fourni ces informations. |  
          |  | Lors de ma visite en février 2025 voici le
 nouveau batiment
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          |  |  |  |  
        
          |   Ce square est situé en bordure de la Grande Rue et la route qui le traverse en son milieu donne accès à  l’ancienne manufacture de Sèvres, aujourd’hui CentreInternational d’Études Pédagogiques,
 Ce lieu de verdure en pleine ville est paré de nombreuses sculptures.
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          | Après le départ de la vieille Manufacture l'établissement fut attribué à l'Ecole Normale Supérieure de Jeunes Filles, école qui correspondait aux tendences nouvelles vers l'émancipation féminine du temps. Le grand promoteur de la création de l'Ecole fut Camille Sée.L'ouverture de l'école eu lieu le 12 décembre 1881.
 La première Directrice de cette école était Mme Jules Fabre et l'Inspecteur général de l'Enseignement M. Ernest Legouvé.
 la première promotion comptait quarante jeunes filles.
 Chaque promotion reçut un enseignement exeptionnel, grace à une élite de professeurs, dont les noms prestigieux méritraient d'être tous cités; comment "oser" faire un choix ? Et pourtant peut-on ne pas nommer M. Appell, Mme Curie, M. Langevin, M. Jean Perrin, M. Henri Poincaré, M. Brunot, M. Emile Picard, M. Mario Roques, M. Piganiol, M. A. Cotton, M. Carcopino, M. Réau, Mme Cotton-Feytis et tant d'autres ?...
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          |  |  |  | Vers 1917 |  
          |  |  |  |  |  
          | Salle Louis XV (mai 2015) | Pavillon Lully Mai 2015 |  | Le nouvel aspect de l'Avenue Camille See en février 2025
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          |  | Entrée coté rue Brognart face au square Carrier Belleuse-Pompadour | Dans le fronton de la partie centrale, deux amours portent un écu.
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          | Entrée coté Avenue Leon Journault dite Entrée de la cour du Roi (XVIIIè siècle). Au centre, sur le coté gauche en entrant une fontaine monumentale nichée dans une cavité en hémicycle. Le jet d'eau sort de la gueule d'un monstre à tête de  lion, surgissant d'une couronne de feuilles.
 | Pavillon du Roi 1754-1756 | Fontaine de la cour du Roi |  
        
          |  | Haut de page | Voir les cartes postales anciennes de l'ENS.... |  |  
        
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          | L'école ou j'ai effectué mon primaire 
 | Dans les années 55-60, la cour des garçons 
 | Dans les années 55-60, la cour des filles 
 | 2-4 Rue Victor Hugo, ex rue des écoles 
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          | Groupe scolaire Gambetta. 1881. Architecte Charles Laisné (1819-1891). |  
 
 
        
          | Le SEL ( Sèvres Espace Loisirs ) 
 Le site du SEL
 Le SEL sur le site de la mairie
 
 Cet ancien marché couvert avait été dans cette halle dont l’architecture est totalement inscrite dans la technique traditionnelle des pavillons dits Pavillon Baltard. L’acquisition des terrains , puis la construction commencèrent en 1878, et l’inauguration eu lieu en 1890.
 A l'issue de la Seconde Guerre mondiale, les activités de marché furent déplacées place Gallardon puis la halle devint une salle des fêtes et d’exposition, ainsi qu'un local pour les ateliers municipaux.
 Au début des années 1980, les ateliers municipaux sont déplacés en direction des quartiers des Bruyères et la halle devient un nouvel équipement culturel, le SEL (Sèvres Espace Loisirs) inauguré en 1984, sous la direction d'Alain Michaud. Ce batiment est monument historique depuis 1988.
 Le lieu reçoit de nombreux événements : soirées privées, soirées de gala, émissions de télévision, séminaires, salons, manifestations culturelles ou autres. Mais cette halle abrite surtout une école d'ateliers Théâtre créée en 1992, et l'école des enfants de la comédie crée en 1997, parrainée par Jacques Weber et Charlotte de Turckheim, et dirigée par Karin Catala.
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          | L'ancien marché que j'ai très bien connu à l'époque ou j'allais à l'école Gambetta
 
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          | Vase exposé à l'entrée du SEL; je cherche des infos sur cette exposition
 Ecrivez moi si vous avez des infos
 concernant cette œuvre.
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          | L'Hôtel de ville actuel est l'ancien hôtel de Brancas (précédemment Hôtel de Courchamps, propriété de Maître Pierre Monnerot acheté au sieur Du Bourg le 15 mars 1651) vendu à la commune en 1834 par le roi Louis Philippe.Au cours du XXe siècle, les différentes municipalités effectuent des travaux  importants. On notera particulièrement ceux des années 1910 qui donnent au  bâtiment son aspect actuel, ainsi que ceux effectués entre 1972 et 1983 autour  de la Cour Saint-Omer. Entre 2007 et 2010, d’importants travaux sont engagés  par la Municipalité afin d’en faciliter l’accessibilité.
 L’hôtel de ville recèle une collection d’œuvres  d’art au premier rang desquelles se trouve le vase dit de Fulvy ainsi nommé en  hommage à l’intendant des Finances Jean Louis Henry Orry de Fulvy qui finança  vers 1740 les premiers ateliers de porcelaine de Vincennes.
 Au premier étage, six vases viennent décorer la salle des mariages dont  quatre font partie d’une série créée par la Manufacture à l’occasion de la  signature de la Convention du Mètre en 1875 installant le Bureau international  des Poids et Mesures dans le Parc de Saint Cloud. Chaque représentant des vingt  nations invitées avait reçu un exemplaire avec son nom apposé à la feuille  d’or. Les quatre exposés en mairie n’avaient pas été attribués.
 
 
 
 
              
                | Le texte ci-dessus est issu : du site de la Mairie de Sèvres, Wikipédia, 
                  ainsi que du livre Sèvres en Ile-de-France de Mariette Portet édité par "La Nef de Paris Editions en 1963 (livre offert par la ville de Sèvres aux élèves du collège)
 |  Les Maires de 1800 à 1830 :
 Jean-Baptiste Joseph de Sérigny, ancien officier de marine et émigré, devint maire en 1800. Sous la pression des Sèvriens, Napoléon le destitua pour prévarication en 1812 mais le nomma en 1813 maire de Rochefort !
 
 Abraham Justin Silly lui succéda de 1812 à 1815. Bon organisateur, il fut à l'origine du recensement de la population (3 100 personnes), de la réalisation du cadastre et de l'organisation de soupes populaires dans une période économique difficile. Révoqué par Napoléon pendant les Cent jours, il fut nommé par Louis XVIII maire de Saint-Cloud en 1816.
 
 Philippe Charles Lambert devint maire en août 1815. C'est à lui qu'on doit les premières mesures d'urbanisme (création de trottoires, éclairage, identification des rues...). Il démissionne en 1830.
 Il fut aussi le créateur de la Manufacture des cristaux de la reine.
 
 A lire, la liste des Maires de Sèvres de 1797 à 2014 (document non complet: je suis preneur de toutes infos. utiles sur le sujet, merci). Contact
 
 
 
 
  
    |  |  |  |  
    | Conseil Municipal Procès-Verbal
 30-11-1936
 Maire Maurice  Vacle
 | Conseil Municipal Procès-Verbal
 27-05-1936
 Maire Maurice  Vacle
 | Conseil Municipal Procès-Verbal
 04-09-1937
 Maire Maurice  Vacle
 
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          | On sait qu'une église existait à Sèvres vers 560. Une plaque en marbre à l'intérieur de l'église indique qu'elle a été fondée par Dagobert II en 675. Détruite par les Normands, elle est rebâtie vers 1200 en style roman. Elle mesure quarante-deux mètres de long, quinze mètres de large; la hauteur de sa nef est de quatorzes mètres. Les fonds baptismaux du XVIIIè siècle sont en bronze doré, le pied symbolise la puissance infernale par trois pattes faunesques, tandis qu'à la cuve la vigne du Seigneur prépare les vendanges célestres. L'autel de la Vierge,  du XVIIIè siècle, est en bois peint et doré.De cette époque, il reste plusieurs voûtes et la base du clocher roman. Après la guerre de Cent Ans, l'édifice a été agrandi vers l'ouest de plusieurs travées, puis vers l'est d'un chœur semi-circulaire dont l'axe n'est pas dans l'alignement de la nef.
 Les vitraux datent du XIXe siècle. Trois sont consacrés à Saint-Romain, patron des mariniers. On donne un large extrait de la verrière de Saint-Romain de Sèvres dans la galerie des vitraux.
 Site de l'église : http://paroisse-sevres.fr/
 
              
                | Le texte de cette page est issu des sites suivants : Wikipédia, patrimoine-histoire et l'image de Jeanne d'Arc du site fr.topic-topos.com ainsi que du livre Sèvres en Ile-de-France de Mariette Portet édité par "La Nef de Paris Editions en 1963
 |  |  
        
          | Visite guidée des caves du Roy avec Michel Schneider, Président de la SAHS. |  
          |  |  |  |  |  
          | Début de visite |  |  | Empilement de tonneaux dans la glacière |  
          |  |  |  |  |  
          | Empreinte d'un fût dans un mur. | Empilement de bouteilles. 
 |  | Nom de la rue en surface pour se diriger |  
          |  |  |  |  |  
          | Scupture "érotique" ? | Débordement de bouteilles |  | Salle en voûte en partie comblée par du sable |  
          |  |  |  |  |  
          | Nom et date de maçon | Nom et date de maçon |  | Pilier remarquable |  
        
          |  | 
            
              | Pour venir |  
              | 8 rue de Ville d’AvrayEn train :
 Sèvres - Ville d’Avray rive droite (gare Saint-Lazare)
 Sèvres - rive gauche (gare Montparnasse)
 En bus, depuis la station de métro Pont-de-Sèvres (ligne 9) :
 171, arrêt Mairie de Sèvres
 426, arrêt Square Jean Caillonneau
 |  
              | Horaires |  
              | TOUS LES ESPACESMARDI 	14h-19h30
 MERCREDI 	10h-18h30
 JEUDI 	14h-19h30
 VENDREDI 	14h-18h30
 SAMEDI 	10h-18h30
 
 L’@telier (espace multimédia et travail de groupe)
 MARDI 	14h-22h *
 MERCREDI 	10h-18h30
 JEUDI 	14h-22h *
 VENDREDI 	14h-18h30
 SAMEDI 	10h-18h30
 * L'accès à l'@telier entre 19h30 et 22h n'est possible que sur réservation.Les réservations se font sur place ou par tel. au : 01.41.14.12.13
 |  |  
        
          | 
            
              | 
                
                  |  |  archives@ville-sevres.fr
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                  |  |  |  |  
                  | Le musée municipal : C’est le 30 décembre 1935 que Maurice Vacle, Maire de Sèvres, décide de créer un musée municipal qui peut accueillir « toutes pièces relatives à la géologie, l’histoire, la géographie et la démographie de la commune de Sèvres ». A partir de cette époque, la Mairie accepte  diverses œuvres (tableaux, statues, tapisseries) offertes par l’Etat ou d’autres organismes publics parmi lesquels la Manufacture de porcelaine.
 De même, les dons privés sont également acceptés et c’est ainsi que plusieurs particuliers proposent de donner des pièces personnelles.
 A l’origine, le musée de Sèvres devait s’installer dans le Parc de Brimborion au Pavillon de Coislin. Mais du fait d’un délai trop long, les œuvres seront exposées à l’Hôtel de Ville puis transférées à l’Ancienne Poste et enfin sous le gymnase du Vieux- Moulin.
 Aujourd’hui, les Archives de Sèvres accueillent les œuvres du musée municipal.
 
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                |  |  | Ou sont-ils aujourd’hui ? |  |  
                | La caserne en 2014 | La caserne en 1990 Photo Facebook
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          |  | Haut de page | L'Hôpital |  |  
        
          | L'une des nombreuses auberges qui existaient encore à l'époque devint l'Hôpital de Sèvres qui fut construit en 1857,
                sur l'initiative de Jean Baptiste Reinert, (qui donna l'immeuble) chevalier de la Légion d'honneur, qui le fera agrandir en 1865,
                et, avec le concours de la population, donnera à la Ville un Hôpital disposant de vingt-quatre lits.On peut encore voir la grotte de cet ancien hôpital.
 Un orphelinat se dressait derrière lui et une chapelle fut construite en 1892.
 Jean Baptiste Reinert était aussi propriétaire des caves dites du Roy à Sèvres; voir la page consacrée à la brasserie.
 L'établissement était tenu par les Soeurs de Saint-Vincent de Paul et s'appelera Saint Jean Baptiste.
 Administré au début par le bureau de bienfaisance ce ne fut qu'en décembre 1859 que la première commission administrative fut inslallée.
 Docteur Pierre Midrin, maire, président
 Membres :
 A. Collas
 Flat
 Ernest Fréville
 Landier
 Mathieu
 Rocheron
 Économe : M. Taufflieb
 Aumonier : M. l'abbé Sablier
 et les Sœurs de Saint-Vincent-de-Paul
 En janvier 1875 Madame Rivory, religieuse qui décède à l'hôpital,  lègue sa propriété pour l'établissement d'un orphelinat, à la condition d'affecter à perpétuité cet immeuble qu'à un orphelinat de filles, dirigé par les Filles de la Charité de St Vincent de Paul.
 Le Conseil municipal, le Préfet autorisa l'acceptation définitive par un arrêté du 16 février 1876.
 La mise en possession n'eut lieu qu'en 1878, par suite de l'opposition des héritiers à donner leur consentement.
 En 1892 une chapelle est construite.
 ADMINISTRATION (1893)
 L'Établissement Saint-Jean de Sèvres comprend trois services :
 1° L'Hôpital pour les malades;
 2° L'Hospice pour les Vieillards;
 3° L'Orphelinat pour les enfants filles (orphelines ou enfants abandonnées). Les admissions ont lieu à partir de sept ans et les enfants restent à l'établissement jusqu'à leur dix-huitième année, époque où elles sont placées par les soins de l'Administration, comme domestiques ou femmes de chambre.
 Le personnel se compose :
 1 Secrétaire économe;
 1 Receveur;
 1  Aumônier;
 6 Sœurs de Saint-Vincent-de-Paul;
 1 Sous-maitresse;
 1 Infirmier;
 1 Infirmière;
 1 Sœur pensionnaire;
 2 Médecins;
 1 Aide opérateur.
 En 1892, le prix de la journée d'un malade à l'Hôpital de Sèvres, calculé sur la moyenne des 5 demières années, est de 1,50 fr. pour frais occasionnés par le séjour
 de l'administré, et de 0,60 fr. environ pour ceux qui existent, qu'il ait plus ou moins de malades. La Commission administrative admettrait donc un prix de 2 francs dont la majoration provient du chauffage et de l'éclairage des nouvelles salles.                                                                   ·
 Les frais d'inhumation ne sont pas prévus dans ce prix de journées.
 1900-1928 Ouverture d’un bâtiment pour les vieillards incurables et d’un pavillon affecté à la chirurgie.
 En 1930, une crèche, nommée "Goutte de lait" est mise en travaux.
 En 1950, Madame Jousselin lègue 50 000 F à l'hôpital de Sèvres : à charge pour lui de consacrer la moitier de cette somme à l'entretien perpétuel de sa tombe, et
 à donner l'autre moitié à la jeune fille la plus méritante de la ville !
 Sœur Germaine est restée à Sèvres de juin 1953 à janvier 1962 comme mère Supérieure.
 Sœur Marthe à travaillé de mars 1943 à février 1965.
 L'hôpital comptait 9 religieuses, toutes infirmières, sauf sœur Agnès, qui était cuisinière.
 Les orphelines y ont été hébergées jusqu'en 1962, date à laquelle une loi interdit la proximité des orphelins et des malades.
 Les sœurs de la Charité ont quitté l'hôpital-hospice Saint Jean en 1965.
 1970 les bâtiments du vieil hôpital sont détruits, pour laisser la place au Centre Hospitalier Jean Rostand ainsi qu’à une maison de retraite.
 1980 l’hôpital devient intercommunal avec trois communes de rattachement : Sèvres, Chaville et Ville d’Avray.
 2006 reconstructions et ouverture de la résidence Jean Rostand, établissement hébergeant des personnes âgées dépendantes.
 
              
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                | Plan établi le 9 avril 1932 |  |  
        
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          | Elmar Trenkwalder (né en 1959) Manufacture de Sèvres
 Grès émaillé 2012-2013
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          | La gare de Sèvres- Ville-d'Avray est une gare de la ligne de Paris-Saint-Lazare à Versailles-Rive-Droite. La gare de Sèvres-Rive-Gauche est une gare de la ligne de Paris-Montparnasse à Brest. La gare du Pont de Sèvres Tram Val de Seine ; 
              La ligne T2 La Défense / Issy-Val-de-Seine dessert les stations Musée de Sèvres, à proximité immédiate du Pont de Sèvres.
 La station terminale de métro Pont de Sèvres (ouverte le 3 février 1934) ; ligne 9 Pont de Sèvres-Mairie de Montreuil.
 La station terminale des bus  :169 : Pont de Sèvres / Hôpital Européen Georges Pompidou
 171 : Pont de Sèvres / Château de Versailles
 179 : Pont de Sèvres / Robinson RER
 279 : Pont de Sèvres / Meudon-la-Forêt Zone industrielle
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          |  | L'ancienne ligne de tramways Paris-Versailles qui traversait Sèvres. Découvez l'historique.
 |  | Jetons de transport en commun de la région parisienne
 non remboursable en espèces
 Bon pour un parcours à 25 centimes
 valable jusqu'au 31 décembre 1921
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          |   Si le tramway est un progrès incontestable, il s’accompagne,  hélas, parfois aussi d’accidents.Lire l’article de la revue « Le Petit Journal, supplément illustré »  du dimanche 24 janvier 1897 »
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          | La gare de Sèvres-Rive-Gauche. |  
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          | Face à la gare, croisement des rues Georges Bonnefous Maurice Berteaux
 et en face Sente de la grande haie
 | La même vue sauf que la rue Maurice Berteaux s'appelait rue d'Assaut à l'époque
 carte postale postée le 06/12/1909
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          | La gare de Sèvres-Ville-d'Avray. |  
        
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          | Un abri Véligo gare de Sèvres-Ville-d’Avray
 Publié le 14 mars 2021
 Modifié le 26 février 2021
 Info. Mairie de Sèvres
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          | La gare de Sèvres-Ville-d'Avray Place Pierre Brossolette date de 1839. |  
        
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          | Maison Gravant |  
          | Louis François Gravant, né vers 1715, préparateur des  pâtes à la manufacture de Chantilly de 1741 à 1756 puis à Sèvres de 1756 à 1765Second fils de Jean Gravant et Marie-Antoinette Lejeune, il épouse à Chantilly,  le 14 janvier 1737, Mademoiselle Marie-Henriette Mille, avec laquelle il aura  trois enfants : Marie-Catherine, née en 1737, Françoise Eléonore, née en 1739  et Louis François Gravant (fils), né peut être vers 1738. En 1740, il quitte en  compagnie des frères Robert Dubois et Gilles Dubois, la Manufacture de  Chantilly, pour aller avec quelques compagnons, fonder la Manufacture de  Vincennes. Il sera actif à Vincennes de 1741 à 1765.
 Les frères Dubois quitteront Vincennes en 1744, mais  lui restera. La manufacture obtiendra en 1745 un privilège royal, année où son  épouse Marie Henriette Mille rentre à la manufacture pour s'occuper de la  fabrique des fleurs de porcelaine où elle dirigera un atelier comptant jusqu'en  1755. En 1746, il fait rentrer son neveu Louis Gravant, comme tourneur jusqu'en  1755, où il gagnera Sèvres de 1756 à 1760. Son fils Louis François Gravant II  sera apprenti tourneur à Vincennes en 1749 et à la préparation des pâtes à  Sèvres de 1764 à 1775.
 En 1756, il achète à Jean Gosselin, marchand de vin de  Louis XV, une propriété à Sèvres, au lieu-dit Ruisseau de la forge. Sa maison  qui existe toujours sur deux étages est classée aux Monuments Historiques.
 Il dirige de 1776 à 1779 la Manufacture de Chantilly et  sa femme lui succède de 1779 à 1781.
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 | Henriette Gravant, née Mille épouse de Louis François,  dirige la fabrique de fleurs de 1745 à 1755
 Louis François Gravant (fils), apprenti tourneur en  1749, préparateur des pâtes de 1764 à 1775 à Sèvres
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          | [source Wikipédia] | Lire l'historique de cette maison sur le site de la mairie. | [source Wikipédia] |  
 
 
        
          | Le nom de Brimborion fut successivement donné à deux propriétés situées sur  la « Butte de Chatillon ».La première propriété, située en bord de Seine, appartenait à Madame de  Pompadour qui l’avait surnommée sa Babiole (son brimborion) vu la modestie de  cette demeure comparée au Château de Bellevue qui la surplombait sur la  colline. Si la Pompadour a acheté cette propriété, c’est autant pour surveiller  l’avancement des travaux du château de Bellevue que pour y abriter ses amours  royales. La Marquise y organise pour le roi une vie intime et dépourvue de  protocole.
 Lire l'article complet sur le site de la Mairie de Sèvres.
 Aujourd'hui le domaine de Brimborion est un cadre verdoyant qui accueille le poney club et un centre de loisirs.
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          | Maison Etzel |  
          | Pierre-Jules Hetzel,(15/01/1814 – 17/03/1886)
 créa en 1843 sa maison d’édition. Il avait  fait partie du gouvernement de la seconde république à la suite de la  révolution de 1848, et chef de cabinet de Lamartine, alors ministre des  Affaires Etrangères. A la suite du coup d’état du 2 décembre 1851, il part en  exil en Belgique.
 Pierre-Jules Hetzel écrivait sous le pseudonyme de P.J. Stahl.
 |  |  | Louis-Jules Hetzel, fils de Pierre-Jules Hetzel(08/11/1847  – 06/12/1930) Commandeur de la Légion d’Honneur entre dans la maison d’édition  de son père en 1866. Il en prendra la direction à la mort de celui-ci.
 Le 1er juillet 1914, il cède son fonds à la Maison Hachette et Cie.  L’appellation Collection Hetzel a été conservée pendant quelques années sur  certaines rééditions d’ouvrage à succès comme les œuvres de Jules verne.
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          | Sa tombe  au cimetière de Montparnasse | Pierre-Jules Hetzel | (photo JB 09/2014) Lire l'historique de cette maison
 sur le site de la mairie.
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          | Le nom  de la Maison Etzel est indissociable de l’écrivain Jules Verne et de l'illustrateur Léon Benett. |  
          |  | Jules Verne, né le 8 février 1828 à Nantes en France et mort le 24 mars 1905 à Amiens en France, est un écrivain français dont l'œuvre est, pour la plus grande partie, constituée de romans d'aventures et de science-fiction (ou d'anticipation).En 1863 paraît chez l'éditeur Pierre-Jules Hetzel (1814-1886) son premier roman Cinq semaines en ballon, qui connaît un immense succès y compris à l'étranger. Lié à l'éditeur par un contrat de vingt ans, Jules Verne travaillera en fait pendant quarante ans à ses Voyages extraordinaires, qui compteront 62 romans et 18 nouvelles et paraîtront pour une partie d'entre eux dans le Magasin d'éducation et de récréation destiné à la jeunesse.  |  | Léon Benett, né Hippolyte Léon Benet le 2 mars 1839 à  Orange (Vaucluse) et mort le 7 décembre 1916 à Toulon, est un peintre et  illustrateur français. |  
        
          | Voir, en bande dessinée, le roman de Jules Verne L'Ile mystérieuse (1874) illustrée par Ferat. |  |  |  
        
          | L’usage aujourd’hui veut que l’on désigne par « Bruyères » la zone résidentielle comprise entre la forêt de Meudon, le Pavé-des-Gardes et la route de la Garenne. Le nom de Bruyères viendrait du terme « brières », terrain humide et marécageux.
 Les nombreux points d’eau (mare Adam, mare des Faisans, étang des Fonceaux) et le sol argileux ont favorisé la présence de meulières.
 Lire la suite....
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          | La pagode Chua Tinh Tam (vietnamienne) littéralement « cœur tranquille » ou « cœur en paix » est un temple bouddhiste. |  
        
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 | Pagode Tinh Tam Confession Bouddhiste
 Temple bouddhiste
 Propriétaire : Association de Tinh Tam
 Adresse : 2 rue des Bois
 Epoque et styles XXème
 La pagode a été inaugurée en 1990.
 La pagode Tin tham est la seule pagode des Hauts-de-Seine.
 Elle est établie dans un petit jardin, à la végétation dense et luxuriante.
 Affectation / Usage Culte
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          |  | Publicité pour la pagode |  |  
        
          | La maison des Jardies  abrite un musée consacré à Léon Gambetta, l'un de ses habitants célèbres.À l'origine, c'est une maison de vignerons construite à la fin du XVIIe siècle qui occupait la place actuelle de la maison des Jardies.
 Elle a été transformée au XVIIIe siècle en maison de campagne.
 Le premier occupant célèbre de la maison est Honoré de Balzac qui s'y installe en 1838. Il fait construire dans le jardin une sorte de chalet. En 1840, harcelé par ses créanciers, Balzac doit quitter les lieux.
 En 1878, Léon Gambetta achète la maison des Jardies où il se rend régulièrement pour se reposer de ses activités politiques. Lorsqu'il se retire de la vie politique, il se réfugie à la maison des Jardies en janvier 1882, en compagnie de sa maîtresse Léonie Léon. C'est dans cette demeure qu'il meure, le 31 décembre suivant, à l'âge de quarante-quatre ans.
 Après la mort de Gambetta, la maison est donnée à l'État qui en fait un musée. Une statue en sa mémoire, œuvre de Bartholdi, y est élevée en 18911. La demeure est restée dans son décor de l'époque et regroupe des objets, mobiliers ayant appartenu à Balzac ainsi qu'à Gambetta, parmi lesquels des exemplaires du journal La République française, créé par Gambetta en 1871.
 La maison des Jardies est inscrite aux monuments historiques avec son jardin depuis le 3 juin 1991, et la statue est classée depuis le 10 juillet 19952.
 La maison a subi d'importants travaux de restauration.
 
 Pour une information plus complète vous pouvez lire aussi les articles des sites suivants :
 La Mairie de Sèvres
 Archives & Patrimoine des hauts de Seine
 et pour une visite guidée , le site des Monuments Nationaux.
 Le site de la maison : http://www.maison-des-jardies.fr/
 Un texte sur Léon & Léonie aux Jardies
 
 
 
              
                | Le texte de cette page est issu du site  Wikipédia |  |  
        
          |  |  | Maison des Jardies 14 avenue Gambetta
 92310 Sèvres
 01 45 34 61 22
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          | Inauguration du monument élevé aux Jardies à la mémoire de Gambetta
 par les Alsaciens-Lorrains
 Photographie du Monde Illustré
 | Auguste LEPÈRE Les Jardies (maison de Gambetta et de Balzac, Sèvres). Gravure sur bois. 209 x 299.
 | Carte écrite et postée le 23 mai 1913 Édition C.M Malcuit (Paris)
 | Oblitérée au musée Édition Nattier
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          |  |  |  |  |  
          | Édition E. Malcuit (Paris) | Carte écrite et postée le 14 janvier 1907 Édition A. Breger frères (Paris)
 | Carte écrite et postée le 21 juillet 1907 Oblitérée au musée
 Édition C.M Malcuit (Paris)
 | Édition E. Malcuit (Paris) |  
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          | Monument conçue par l'Asacien Auguste Bartholdi inaugurée le 8 novembre 1891
 Réalisé avec les fonds recueillis auprès de la population
 des deux régions annexées par l'Allemagne
 L'Alsace & la Lorraine
 | Entrée de la maison avenue Gambetta | Façade |  
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          |  | Arrière du monument |  
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 Voir détail du visage
 
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          | Statues figurants l'Alsace & la Lorrraine au pieds de Gambetta | Partie d'un autre monument Gambetta précédemment place du Carrousel à Paris
 actuellement dans les jardins de la mairie
 de Paris 20ème
 | Le monument Gambetta place du Carrousel
à Paris
 en 1908
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          | Rez de chaussée Cuisine | Rez de chaussée Salle à manger | Rez de chaussée Salon | Rez de chaussée Salon |  
          |  |  |  |  |  
          | 1er étage Ancien cabinet de toilette | 1er étage Chambre et lit ou est mort Gambetta
 | Masque mortuaire | Ici repose le cœur de Léon Gambetta transféré au Panthéon
 le 11 novembre 1920
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          |  | Monument à Danton et Gambetta à SèvresMonument en voie d'exécution à Sèvres : à la Manufacture ?
 Projet seulement ?
 Projets pour le monument à Gambetta exécuté aux Jardies (Ville-d’Avray puis Sèvres) ?
 
 Éditeur : Figaro (Paris)
 Date d'édition : 03 septembre 1909
 Contributeur : Villemessant, Jean Hippolyte Auguste Delaunay de (1810-1879).
 Contributeur : Jouvin, Benoît. Directeur de publication
 
 Danton vécut à Sèvres, Gambetta mourut à Ville-d'Avray, qui est encore un peu Sèvres. Les deux tribuns, diton, ont joué à un siècle de distance à peu près le même rôle en face de l'ennemi. Voilà le prétexte du monument.Mais ce qu'on a surtout voulu faire, c'est une œuvre d'architecture et de sculpture d'une matière toute nouvelle, que l'on a demandée à notre manufacture nationale de Sèvres.
 Ce monument Danton-Gambetta sera, en effet, tout en gros de Sèvres, en grès superbe, aux coloris magnifiques, que des chimistes, pour l'instant, combinent en leurs creusets. Les statues des deux tribuns et les bas-reliefs des soldats de la Révolution et des combattants de 1870 qui les accompagnent seront l'œuvre d'Alfred Boucher.
 
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 Léon Gambetta, dont le nom est présent dans presque toutes les communes
 de France, a fait couler beaucoup d'encre et pourtant les 44 années
 de sa courte vie passionnent encore aujourd'hui.
 Mais Gambetta entretient aussi des relations avec les femmes.
 Mais peut-être est-ce plutôt l'intérêt du beau sexe pour ce personnage
 qui avait autant besoin d'une seconde mère sans pour autant refuser
 qu'elle prit les habits d'une maîtresse ou courtisane.
 
 
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          | Carte postale éditée à l'occasion de la parution en décembre 2020
 de l'ouvrage Léonie Léon Gambetta
 | éditions édicausse 935, route du Causse de Pasturat
 46090 Arcambal
 05 65 31 44 00
 contact@edicausse.fr
 www.edicausse.fr
 
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          |  | Pièce commémorative Léon Gambetta
 10 Franc 1982
 Graveur : Émilie Rousseau
 Démonétisée	1er octobre 1991
 Légende circulaire:
 "LÉON GAMBETTA 1838-1882".
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          |  |  |  | Timbre sorti en 1938 et produit à 4 500 000 exemplaires.
 Il est signé Jean-Antonin Delzers
 dessinateur, graveur de timbres
 et enseignant.
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          | À Sèvres l'École Élémentaire Publique se nomme "Gambetta", elle est située dans le prolongement de l'Avenue Léon Journault (Centre International d'Études Pédagogiques) puis devient Rue Victor Hugo et enfin débouche sur la Grande Rue face à la Mairie.
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          |  |  |  |  |  
          | La 118 vue du pont à droite en montant la rue des Bruyères
 en face du chemin des Capucins
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